COSTA RICA

DECEMBRE 2012.



Dès la frontière, nous comprenons que nous sommes un peu aux Etats Unis, beaucoup de gringos, la monnaie est le dollar même s'il existe une monnaie officielle, le colones; un pays magnifique mais hors de prix !

Les plages sont sompteuses notamment dans la péninsule de Nicoya et c'est là que nous camperons.


Nous sommes à une époque où les conditions sont exceptionnelles : il a beaucoup plu ce qui amène au bord des plages de nombreux aliments pour les sardines (!) et les petits poissons, ce qui attire ainsi de plus gros poissons et ce qui rend la pêche miraculeuse !

Un fil et un hameçon suffisent pour pêcher au gros depuis la plage.



La "boite à Sardines" attire de nombreux curieux dont Alexandro, un Américain fortuné marié à une jeune Ticos, qui nous propose de profiter de son complexe avec sa piscine à débordement et sa vue imprenable.





A les Croco, à les croco, à les crocodiles, sur les bords du Rio Tarcoles...



Plage "Dominical" et son sable noir, réputée pour les surfers...







Ce qui nous frappe dans ce pays, c'est la luxuriance de toute cette végétation inconnue qui descend jusque sur les plages.


Notre plage : Pinuela. c'est un des plus beaux bivouacs que nous ayons fait. Malheureusement, mal fréquenté. Nous nous sommes fait voler avec délicatesse (sans bruit) toutes nos caisses d'outillage pendant la nuit.



Nous tentons notre chance vers une autre plage, mais la piste est vraiment trop étroite. Nous y laissons d'ailleurs une fenêtre de toit!


Bérengère négocie avec la police de pouvoir se brancher chez eux pour recharger nos batteries et passer la nuit.

Le lendemain, nous partons en excursion sur la mangrove du Rio Sierpe


Nous observons une multitude d'oiseaux, plantes, singes capucins, iguanes...






Quand on dit que la monnaie du Costa Rica est une monnaie de singe !



Une des originalités de cette région du Costa Rica, ce sont ces boules de granit, les bolas. Les bolas peuvent mesurer de quelques centimètres à 3 mètres de diamètre. Ces sphères sont taillées à la main, certaines sont isolées, d'autres assemblées par groupes. . S'agit-il d'objets religieux ? Comment furent-elles fabriquées ? Nul ne le sait ! Elles sont le fait des Indiens Diques seulement présents dans la Zone du Rio Sierpe.

Du Costa Rica, nous n'avons pas vu 1/10 des richesses. Mais nous reviendrons, une fois les poches pleines !


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