Les garçons profitent d'une halte pour remettre un joint de la capucine pendant que les filles se refont une beauté.

Nous retrouvons avec plaisir notre camélidé préferré...

qui n'est pas non plus toujours celui que l'on croise sur la chaussée.

Après une nuit à UYUNI, une ville étrange avec ses rues plates et rectilignes sans végétation, ses statues staliniennes, ses locomotives rouillées et sa caserne grise, sa poussière permanente, sa station essence souvent en rupture, nous prenons la piste qui conduit au plus grand desert de sel du monde : le Salar !

Le Salar a la taille de 2 départements français et quelques centaines d'hommes exploitent ce sel non iodé pour moins de 1 euro la tonne.

La reverbération est extrême. Nous filons droit sans boussole un peu inquiet car les points de repère sont rares.

Après 2 heures de désert blanc, nous atteignons l'Isla del Pescado, un ilot de cactus proche duquel nous "plantons" notre camps. Nuit très fraiche !

Le lendemain, on a bien rigolé !

Le sel est très corrosif pour le véhicule. De retour à UHUNI nous "cachérisons" la boite, pulvérisons sur le chassis de l'huile de vidange et graissons un peu les suspensions. Indispensable si l'on veut encore pouvoir aller loin avec sa monture !